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par Nunavut » 09 Jan 2017, 16:34
Ouh là, des records ? Que nenni, advienne que pourra !
Pour en revenir à Brive, un samedi correct au niveau météo, avec la pôle en 4x2 de Marc Dousseau, proto traction avec plein de pièces JMC. Ce jour là je fais plus ample connaissance avec JMC, Pat Villevaud, Robert Michel, Fred Grossi, etc, qui deviendront peu après des amis et non pas des copains !
Le dimanche matin, il tombait la mer et les poissons comme on dit en Provence. A la fois concurrent, vite éliminé, et organisateur en délicatesse avec les potes de l'ACMC19 (club organisateur) pour le timing au vue de la météo, pas question d'annuler, personne ne râle, ni pilotes ni ramasseurs, les temps ont changé, n'est ce pas ? Bref, pas de polémiques, la finale 4x2 démarre, et cela aujourd'hui me fait penser à l'étape annulée du dakar avant hier, c'était la même limonade : des tours en 1 minute 40 au lieu de 25 secondes, des calages pour tout le monde, pas à tous les tours mais pas bien loin, des abandons en cascades, des moteurs qui mangent de l'eau au lieu de leur breuvage habituel, des filtres à air ou à pluie je ne sais plus, en cours de finale, des taux de nitro utilisés inavouables pour l'époque, et à l'arrivée la victoire de Fred Grossi, comme l'a expliqué JMC, un réglage moteur particulier (un OS), la conception du twist qui ne chargeait pas en boue, et la radio qui était parfaitement protégée. Je voudrais ajouter que Fred apportait un soin hors du commun à la préparation de son auto, pas aussi méticuleux que le chef, mais presque autant, sur n'importe quelle course, très rarement vu à la buvette, c'est tout juste si il prenait le temps de manger, un garçon extraordinairement sympathique, accessible, qui plus est déconneur, qu'est ce qu'on a pu chambrer JMC ! Il le prenait bien, parce que je pense que nous répondions à ses attentes. Ce week end là, j'achète mon sweat JMC, fin septembre, j'arrive à Aix en provence, et l'aventure Twist commença début 86.dans les trous
La finale 4x4 se déroula ensuite, il ne pleuvait plus, mais la piste se creusant, c'était devenu un champs de mines, parfois, du bord du terrain on voyait les autos disparaitrent dans les trous, c'était pas Verdun, mais pas loin, quoiqu'en Corrèze, Denis la malice en était de ce coup là.
Je vais essayer de retrouver dans mes archives les articles de presse de ce cf, édifiant, in fine, des conditions dantesques ...
La suite du post va vous surprendre
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