Ma dernière acquisition.
Publié : 27 Nov 2011, 08:32
Après une longue période de silence, je reviens vers vous pour vous présenter ma dernière acquisition. C’est en quelque sorte mon cadeau de Noël, avant l’heure.
Depuis de nombreuses années, cet achat trottait dans ma tête et j’ai fini par craquer, j’ai décidé de me l’offrir, voici l’objet tant convoité.
J’ai réceptionné ce mini tour à métaux, il y a quelques jours, et depuis, j’ai tourné mes premières pièces métalliques.
N’ayant, jamais, utilisé de machine outils, je me suis livré à quelques essais de tournage à partir de profilés alu, vendus dans les magasins de bricolage.
Après, avoir visité différents forums, traitant de ce sujet, et après avoir visionné différentes vidéos sur la toile je me suis lancé et voici ma première réalisation.
J’ai tenté de reproduire un plot de carrosserie arrière et support d’aileron, de VCS.
A gauche, la pièce d’origine, à droite la pièce reproduite. Celle-ci n’est pas entièrement terminée, il s’agit encore de percer les extrémités supérieure et inférieure, et de tarauder le perçage inférieur. Pour ce faire il faut une poupée mobile équipée d’un mandrin. J’ai passé commande de cette pièce, ainsi qu‘un boiter d’avance automatique, pour réaliser des filetages, que je devrai réceptionner au cours de la semaine à venir.
L’intérêt d’une telle machine est de pouvoir reproduire certaines pièces défectueuses ou manquantes telles que des plots de carrosserie, des entretoises, des rondelles, des axes, etc, mais aussi de rénover certaines pièces ayant subies les outrages du temps.
Ainsi, j’ai entrepris la restauration d’un différentiel de Columbia MK2, que j’ai récupéré
en achetant une MK2 vendue avec un lot de pièces parmi lesquelles il y avait ce différentiel :
Comme vous pouvez le constater, l’état de corrosion est très avancé. Après démontage et nettoyage, des pièces le meilleur résultat que j’avais atteint, ne me donnait pas satisfaction.
Il subsiste, malgré un polissage approfondi au papier émerisé et à la laine d’acier, des traces indélébiles au niveau des flasques du différentiel. La corrosion a rongé le métal, et pour éliminer ces traces disgracieuses, seule une rectification au tour à métaux de l’état de surface des pièces permet l’éradication des stigmates.
Voici le résultat, après rectification au tour, des deux flasques.
La période d’apprentissage n’est pas terminée, je ne manquerai pas de vous présenter mes réalisations à venir.
Depuis de nombreuses années, cet achat trottait dans ma tête et j’ai fini par craquer, j’ai décidé de me l’offrir, voici l’objet tant convoité.
J’ai réceptionné ce mini tour à métaux, il y a quelques jours, et depuis, j’ai tourné mes premières pièces métalliques.
N’ayant, jamais, utilisé de machine outils, je me suis livré à quelques essais de tournage à partir de profilés alu, vendus dans les magasins de bricolage.
Après, avoir visité différents forums, traitant de ce sujet, et après avoir visionné différentes vidéos sur la toile je me suis lancé et voici ma première réalisation.
J’ai tenté de reproduire un plot de carrosserie arrière et support d’aileron, de VCS.
A gauche, la pièce d’origine, à droite la pièce reproduite. Celle-ci n’est pas entièrement terminée, il s’agit encore de percer les extrémités supérieure et inférieure, et de tarauder le perçage inférieur. Pour ce faire il faut une poupée mobile équipée d’un mandrin. J’ai passé commande de cette pièce, ainsi qu‘un boiter d’avance automatique, pour réaliser des filetages, que je devrai réceptionner au cours de la semaine à venir.
L’intérêt d’une telle machine est de pouvoir reproduire certaines pièces défectueuses ou manquantes telles que des plots de carrosserie, des entretoises, des rondelles, des axes, etc, mais aussi de rénover certaines pièces ayant subies les outrages du temps.
Ainsi, j’ai entrepris la restauration d’un différentiel de Columbia MK2, que j’ai récupéré
en achetant une MK2 vendue avec un lot de pièces parmi lesquelles il y avait ce différentiel :
Comme vous pouvez le constater, l’état de corrosion est très avancé. Après démontage et nettoyage, des pièces le meilleur résultat que j’avais atteint, ne me donnait pas satisfaction.
Il subsiste, malgré un polissage approfondi au papier émerisé et à la laine d’acier, des traces indélébiles au niveau des flasques du différentiel. La corrosion a rongé le métal, et pour éliminer ces traces disgracieuses, seule une rectification au tour à métaux de l’état de surface des pièces permet l’éradication des stigmates.
Voici le résultat, après rectification au tour, des deux flasques.
La période d’apprentissage n’est pas terminée, je ne manquerai pas de vous présenter mes réalisations à venir.
as tu la marche arriére dessus ,pour les taraudages sa va bien . Aller au boulot ,les repros ,pas bien 
,mais cher RC ,il les offres 
