Blue Bird CN7 au 1/12...
Publié : 29 Déc 2015, 12:15
C’est bien une voiture, elle est bien vintage, mais ça ne ressemble guère à ce que l’on a l’habitude de voir… Et pourtant, c’est l’une de mes préférées : une magnifique réplique de Blue Bird CN7 à l’échelle 1/12, soit environ 75 cm de long…
Pour les néophytes, il faut préciser qu’il s’agit à la base d’un engin construit en 1960 pour battre le record du Monde de vitesse sur terre, ce qu’il parviendra à réaliser 4 ans plus tard en atteignant 644 km/h. Il était alors piloté par l’anglais Donald Campbell, fils de Malcolm, tout les deux ayant multiplié les tentatives et les records, tant sur terre que sur l’eau, des années 1920 jusqu’en 1965, date d’un tragique accident.
Pendant toutes ces années, ces records avaient des retombées énormes et l’Angleterre, l’Allemagne ou les Etats Unis s’impliquaient directement pour vanter leur avance technologique.
J’avoue volontiers que je suis passionné par l’ensemble de ces engins et cette incroyable épopée.
Bref, après ce petit point d’histoire, une présentation en forme d’hommage pour le créateur de cette petite merveille, un modéliste génial, aussi appliqué que touche à tout. En effet, la bête est intégralement de fabrication personnel et en prime fonctionnel, d’ou la présence d’un joli morceau d’électronique côté variateur. Excepté le cockpit un soupçon carré, les formes sont très réalistes, d’autant que plusieurs versions se sont succédées au fil des tentatives…
Mon Blue Bird à l’échelle 1/12 en compagnie de la version Corgi-Toys au 1/70. La dérive n’était pas présente sur la première version, d’ou la différence… La carrosserie est réalisée intégralement en balsa et en dépron, savant mixage entre modélisme avion et bateau.
Et voilà la mécanique, pratiquement tout en CTP, mais tout de même 4 roues indépendantes suspendues s’il vous plait ! On utilise des longs bras, tirés devant et poussés derrière avec des ressorts en épingle. Même le sauve-servo en bois est parfaitement fonctionnel. La transmission est confiée à une petite courroie et le moteur est un classique 540. Pour être honnète, la vitesse n’est pas à l’échelle car d’origine, l’on trouve un accu NiCd de 3 éléments, soit 3,6 volts… Comme je n’ai encore aucune idée de la tension maxi supportée par l’ensemble, je ne me suis pas aventuré à tester autre chose. Je vous laisse d’ailleurs admirer la complexité du variateur également de fabrication personnelle…
Vraisemblablement construite dans les années 90, un magnifique exemple de pur modélisme… Perso, j’adore la finition, les petites protections aux passages de roues, le capot de transmission qui épouse la forme de la courroie, la grille d’aération, etc.
Pour les néophytes, il faut préciser qu’il s’agit à la base d’un engin construit en 1960 pour battre le record du Monde de vitesse sur terre, ce qu’il parviendra à réaliser 4 ans plus tard en atteignant 644 km/h. Il était alors piloté par l’anglais Donald Campbell, fils de Malcolm, tout les deux ayant multiplié les tentatives et les records, tant sur terre que sur l’eau, des années 1920 jusqu’en 1965, date d’un tragique accident.
Pendant toutes ces années, ces records avaient des retombées énormes et l’Angleterre, l’Allemagne ou les Etats Unis s’impliquaient directement pour vanter leur avance technologique.
J’avoue volontiers que je suis passionné par l’ensemble de ces engins et cette incroyable épopée.
Bref, après ce petit point d’histoire, une présentation en forme d’hommage pour le créateur de cette petite merveille, un modéliste génial, aussi appliqué que touche à tout. En effet, la bête est intégralement de fabrication personnel et en prime fonctionnel, d’ou la présence d’un joli morceau d’électronique côté variateur. Excepté le cockpit un soupçon carré, les formes sont très réalistes, d’autant que plusieurs versions se sont succédées au fil des tentatives…
Mon Blue Bird à l’échelle 1/12 en compagnie de la version Corgi-Toys au 1/70. La dérive n’était pas présente sur la première version, d’ou la différence… La carrosserie est réalisée intégralement en balsa et en dépron, savant mixage entre modélisme avion et bateau.
Et voilà la mécanique, pratiquement tout en CTP, mais tout de même 4 roues indépendantes suspendues s’il vous plait ! On utilise des longs bras, tirés devant et poussés derrière avec des ressorts en épingle. Même le sauve-servo en bois est parfaitement fonctionnel. La transmission est confiée à une petite courroie et le moteur est un classique 540. Pour être honnète, la vitesse n’est pas à l’échelle car d’origine, l’on trouve un accu NiCd de 3 éléments, soit 3,6 volts… Comme je n’ai encore aucune idée de la tension maxi supportée par l’ensemble, je ne me suis pas aventuré à tester autre chose. Je vous laisse d’ailleurs admirer la complexité du variateur également de fabrication personnelle…
Vraisemblablement construite dans les années 90, un magnifique exemple de pur modélisme… Perso, j’adore la finition, les petites protections aux passages de roues, le capot de transmission qui épouse la forme de la courroie, la grille d’aération, etc.
un vrais travail de maquettiste 
.Le modèle avec la dérive est moins connu que la première version . Pour connaître le voltage maxi du vario ,regarde du coté des condensateurs chimique . Il est vrais aussi que pour ce modèle unique qu'il ne faut pas rouler trop vite pour ne pas le détruire 
.