Columbia MK2 : « Et de cinq !!!! »
Publié : 12 Mars 2011, 06:07
Il y a quelques jours je vous présentais ma quatrième Columbia MK2, aujourd’hui, c’est au tour de la cinquième.
Celle-ci vient de Grande Bretagne. C’est une véritable MK2, de la dernière mouture. Elle est en bon état, puisque son ancien propriétaire avait déjà entrepris un début de restauration mais il manquait, néanmoins quelques pièces mineures, que je possédais déjà.

Le moteur est un OS 21 Max, en très bon état, malheureusement, le résonateur n’était pas fourni. L’arceau en corde à piano, est absent également, ainsi que les attaches plastiques au niveau des triangles supérieurs arrière, de la barre stabilisatrice.

Le châssis principal, est en très bon état, il y a quelques petites rayures mineures au niveau de sa partie postérieure.
Le démontage.
Après la dépose de la platine radio, les trains avant et arrière sont désolidarisés du châssis, le moteur subit le même sort.



Le train avant, tout comme le train arrière et le moteur, vont tour à tour, passer dans le bac à ultra sons, pour y subir un cycle de 10 minutes chacun.
Après ce nettoyage ultra sonique, ces ensembles ressortent du bain, débarrassés de la crasse, ce qui est bien agréable, lors du démontage des différentes pièces, pour les mains et pour les doigts.
Nettoyage
Après un premier nettoyage ultra-sonique, les différents éléments sont débarrassés de leur saleté et vont être à présent entièrement démontés.
Le groupe propulseur après séchage, avant le démontage.

Le même sort sera réservé au train avant

Le réservoir semble être neuf.

Même les roues y passent, et sortent bien propres.

Pour le moteur, c’est un véritable régal, la crasse est traquée, partout où elle se trouve, y compris entre les ailettes de refroidissement, endroits quasiment inaccessibles.

Remontage
Comme toujours sur les Columbia, le groupe propulseur, ne souffre pas beaucoup, la rénovation de cette partie de l’auto, se limite à un bon polissage du corps de différentiel, d’un bon nettoyage des pièces en plastique, puis après avoir réassemblé toutes les pièces on obtient cela :






Le train avant pose plus de problèmes. Les traverses subissent une usure, due aux frottements de leurs parties inférieures sur la piste, ainsi que les triangles inférieurs. Malheureusement, ces pièces sont difficiles à trouver de nos jours, aussi il faut essayer récupérer l’irrécupérable.


En utilisant des meulettes caoutchouc émerisées, il est possible de polir les endroits usés de ces pièces, pour leur redonner un aspect plus présentable.


Le résultat final est tout de même assez satisfaisant.



C’est ce résonateur, qui sera monté sur ce châssis. Après, un bon ponçage, une rectification de la sortie d’échappement, un couche de peinture « haute température » grise, voilà comment on récupère une pièce qui semblait destinée à la poubelle.


A ce stade, la restauration de cette auto est terminée, quand en fouillant dans mon bazar, je tombe sur çà :

Cette pièce, a trainé plus d’un quart de siècle, dans ma cave, j’avais commencé le travail au début des années 80. C’est une réplique de la platine radio commercialisée dans ces années par Monaco Model’s. La tentation de finir le travail commencé jadis, est plus forte que tout, et c’est ainsi que j’ai achevé le travail.






Cette Columbia, est la cinquième de ma collection, une sixième Columbia, doit m’être livrée dans les prochains jours.
Celle, qui manquait cruellement, à ma collection !
Celle-ci vient de Grande Bretagne. C’est une véritable MK2, de la dernière mouture. Elle est en bon état, puisque son ancien propriétaire avait déjà entrepris un début de restauration mais il manquait, néanmoins quelques pièces mineures, que je possédais déjà.

Le moteur est un OS 21 Max, en très bon état, malheureusement, le résonateur n’était pas fourni. L’arceau en corde à piano, est absent également, ainsi que les attaches plastiques au niveau des triangles supérieurs arrière, de la barre stabilisatrice.

Le châssis principal, est en très bon état, il y a quelques petites rayures mineures au niveau de sa partie postérieure.
Le démontage.
Après la dépose de la platine radio, les trains avant et arrière sont désolidarisés du châssis, le moteur subit le même sort.



Le train avant, tout comme le train arrière et le moteur, vont tour à tour, passer dans le bac à ultra sons, pour y subir un cycle de 10 minutes chacun.
Après ce nettoyage ultra sonique, ces ensembles ressortent du bain, débarrassés de la crasse, ce qui est bien agréable, lors du démontage des différentes pièces, pour les mains et pour les doigts.
Nettoyage
Après un premier nettoyage ultra-sonique, les différents éléments sont débarrassés de leur saleté et vont être à présent entièrement démontés.
Le groupe propulseur après séchage, avant le démontage.

Le même sort sera réservé au train avant

Le réservoir semble être neuf.

Même les roues y passent, et sortent bien propres.

Pour le moteur, c’est un véritable régal, la crasse est traquée, partout où elle se trouve, y compris entre les ailettes de refroidissement, endroits quasiment inaccessibles.

Remontage
Comme toujours sur les Columbia, le groupe propulseur, ne souffre pas beaucoup, la rénovation de cette partie de l’auto, se limite à un bon polissage du corps de différentiel, d’un bon nettoyage des pièces en plastique, puis après avoir réassemblé toutes les pièces on obtient cela :






Le train avant pose plus de problèmes. Les traverses subissent une usure, due aux frottements de leurs parties inférieures sur la piste, ainsi que les triangles inférieurs. Malheureusement, ces pièces sont difficiles à trouver de nos jours, aussi il faut essayer récupérer l’irrécupérable.


En utilisant des meulettes caoutchouc émerisées, il est possible de polir les endroits usés de ces pièces, pour leur redonner un aspect plus présentable.


Le résultat final est tout de même assez satisfaisant.



C’est ce résonateur, qui sera monté sur ce châssis. Après, un bon ponçage, une rectification de la sortie d’échappement, un couche de peinture « haute température » grise, voilà comment on récupère une pièce qui semblait destinée à la poubelle.


A ce stade, la restauration de cette auto est terminée, quand en fouillant dans mon bazar, je tombe sur çà :

Cette pièce, a trainé plus d’un quart de siècle, dans ma cave, j’avais commencé le travail au début des années 80. C’est une réplique de la platine radio commercialisée dans ces années par Monaco Model’s. La tentation de finir le travail commencé jadis, est plus forte que tout, et c’est ainsi que j’ai achevé le travail.






Cette Columbia, est la cinquième de ma collection, une sixième Columbia, doit m’être livrée dans les prochains jours.
Celle, qui manquait cruellement, à ma collection !